ODE À LALLA
Cependant
que ton œil de lynx
Bleuit
du feu du funambule
Ta
bouche parle comme un sphinx
Et
chaque mot forme des bulles
Cellules d’abord dérisoires
Puis
globes sphère envahissante
D’un
vaste univers en trou noir
La
dissolution est troublante
Tu
rythmes le souffle mystique
D’une
scansion qui m’emmitoufle
Ta
musique est mathématique
Mais
toute logique s’essouffle
Tes
paroles sont des mantras
Obscurs porteuses de lumière
Shakti
joueuse le Tantra
Te
rend souffleuse d’univers
Vaste
univers qui semble nous contenir
Sphère
inclusive et catharsis
Magique
oaristys de nos désirs
Ventre
plus doux qu’une matrice
Mais l'Univers que Je contiens
N'est qu'une forme en la Conscience
Secret
du tout naissant du rien
Ô
puissance de l’impuissance
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire