En parlant de l’éveil on peut avoir l’impression qu’il s’agit d’une sorte d’eureka qui une fois gouté directement nous accompagne à tout jamais, un peu comme la connaissance que 2 + 2 = 4 que l’on emporte désormais avec soi comme une chose définitivement acquise et sur laquelle il n’y a plus besoin de revenir.
Et, si nous considérions plutôt l’éveil comme une simple reconnaissance de ce qui est déjà pleinement là et même une sorte de bouton de fleur se déployant en une perpétuelle éclosion, emplie de notre lumière qui elle-même vient d’une source lumineuse infinie et impersonnelle dont elle n’est pas séparée ?
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