Dan SPEERSCHNEIDER - La complétude est ce que nous sommes. Nous ne pouvons donc ni l'atteindre, ni la perdre. Simplement réaliser que nous ne sommes pas un moi séparé. Ce blog est dédié à la réalisation du Soi pour célébrer l'émerveillement d'être. Partager une perspective non-duelle par le biais de textes, dialogues, jeux d'éveil de l'attention, poèmes et musiques. Il est dédié à la réalisation de votre véritable nature.
Poème énigmatique.... profond... tout comme le regard de cette enfant ! Cette toile, que symboliserait-elle pour nous humains dans notre vie de tous les jours ? Merci pour ce poème :-)
Merci Iaina, Le regard de cet enfant assis sur le bord d'une route poussiéreuse dans la périphérie de Tana à Madagascar m'a profondément touché. La Conscience se manifeste en toute chose. Et parfois il semble que toute chose vibre d'amour, même celles qui pourraient être jugées comme cruelles, douloureuses, ou en apparence contraires à la vie. Pourtant, toute expérience et toute perception pointent nécessairement vers la conscience en laquelle elle apparaissent et disparaissent. C'est mon expérience intime et ma conviction profonde que rien n'est séparé. Ainsi, on peut voir la Vie comme jouant les rôles de la toile, de la mouche et de l'araignée, sans prendre parti, sans en être affecté, par jeu, par spontanéité, par amour aussi, paradoxalement. Et Je suis la Vie, Tu es la Vie. La perspective duelle et limitée d'un individu se croyant séparé prend forcément parti pour l'un où l'autre et ne peut comprendre cela. Le Haïku est un koan, une invitation au non savoir et à se fondre dans ce plus vaste… Ne ressens-tu pas parfois que tu es à la fois la beauté et la laideur du monde, la justice et l'injustice, que la violence et la douceur sont en toi, que quelque chose de très intime en toi est relié avec chaque chose et chaque expérience, même si elles sont en apparence séparées ? Amor Fati
Il y a dans le regard de cette fille comme un savoir au-delà de tout savoir, une acceptation, une profondeur, quelque chose comme un Souffle, une présence mystérieuse…Non ?
Poème énigmatique.... profond... tout comme le regard de cette enfant ! Cette toile, que symboliserait-elle pour nous humains dans notre vie de tous les jours ?
RépondreSupprimerMerci pour ce poème :-)
Merci Iaina,
RépondreSupprimerLe regard de cet enfant assis sur le bord d'une route poussiéreuse dans la périphérie de Tana à Madagascar m'a profondément touché.
La Conscience se manifeste en toute chose. Et parfois il semble que toute chose vibre d'amour, même celles qui pourraient être jugées comme cruelles, douloureuses, ou en apparence contraires à la vie. Pourtant, toute expérience et toute perception pointent nécessairement vers la conscience en laquelle elle apparaissent et disparaissent. C'est mon expérience intime et ma conviction profonde que rien n'est séparé. Ainsi, on peut voir la Vie comme jouant les rôles de la toile, de la mouche et de l'araignée, sans prendre parti, sans en être affecté, par jeu, par spontanéité, par amour aussi, paradoxalement. Et Je suis la Vie, Tu es la Vie. La perspective duelle et limitée d'un individu se croyant séparé prend forcément parti pour l'un où l'autre et ne peut comprendre cela. Le Haïku est un koan, une invitation au non savoir et à se fondre dans ce plus vaste… Ne ressens-tu pas parfois que tu es à la fois la beauté et la laideur du monde, la justice et l'injustice, que la violence et la douceur sont en toi, que quelque chose de très intime en toi est relié avec chaque chose et chaque expérience, même si elles sont en apparence séparées ? Amor Fati
Il y a dans le regard de cette fille comme un savoir au-delà de tout savoir, une acceptation, une profondeur, quelque chose comme un Souffle, une présence mystérieuse…Non ?
RépondreSupprimerOui c'est vrai Dan... si petite mais déjà si adulte dans son regard... trop touchant !
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