Feel it !




Paroles et musique de Dan Speerschneider
un album pour célébrer la vie ;-)

jeudi 19 février 2015

Rencontre avec Dan 



Dimanche 22 Février à 19h. Paris 19 eme.

 "Partage de la Présence que nous sommes" 


Partager la Présence, ce que nous sommes déjà en amont de toute pensée, sensation ou perception. Invitation à la Vision non duelle, au travers de jeux d'éveil de l'attention, de jeux de pleine conscience, de méditations, d'exploration directe de ce pour quoi nous nous prenons, de questions réponses pour s'éveiller au rêve de la séparation.

Vers 21h30 Dîner improvisé avec ce que chacun aura apporté.

Inscriptions au 06 63 76 90 81 ou écrivez-moi sur mon mail : dan.speer@wanadoo.fr

blog : éclore-en-conscience.blogspot.fr

2 commentaires:

  1. Coucou Dan, je ne pourrai pas être présente, mais envie de partager un texte qui m'a été inspiré, suite à ton dernier satsang :

    Où il se réalise que sentir l’interdépendance, c’est encore de trop…

    Je te regarde
    J’ai appris à imaginer l’interdépendance
    A imaginer le soleil les nuages la pluie tous tes ancêtres tous les ancêtres de tes ancêtres tous leurs aliments innombrables la terre l’air les rivières et chaque être animé ou inanimé jusqu’à voir tout l’univers en toi
    Et de même, toi dans tout l’univers
    Moi en toi, toi en moi

    Quelle énergie de savoir
    Quelle énergie d’imagination
    Quelles histoires
    Des mots, des images
    Qui reposent sur quoi ?
    Sur la mémoire

    C’est cela, La Dernière Grande Découverte :
    Toute cette application à voir
    Tout ce désir de vision profonde
    Et leurs résultats, en moi toujours balbutiants
    N’ont pas plus de valeur qu’une mémoire
    Qu’un savoir
    Par essence aussi trompeurs que n’importe quoi d’autre

    Je vois le soleil qui n’est que mémoire du soleil
    Que perception fausse puisque perception de ce corps-mental si limité
    Et tout ce que je peux tenter de voir au-delà de l’apparence sera tout aussi faux

    La seule chose qui puisse se faire
    C’est de constater le film qui défile
    Sans aucun commentaire verbal
    Sans, non plus, aucune image surajoutée
    Ou alors, si, avec commentaire ou image,
    Mais dans un constat de leurs inconsistances égales à celle du film

    La seule chose qui approche le réel en fait
    C’est : sentir
    Sentir l’espace indissociable du déroulement du film
    Le vide immense indissociable des formes
    La tranquillité indissociable du mouvement
    La paix indissociable de l’agitation
    L’Amour indissociable des émotions, volages

    Dans cette Unicité
    Dans ce tout qui se manifeste ou ne se manifeste pas
    Dans ce Un
    Comment ne pas juste sentir l’Amour
    Nul besoin de comprendre, savoir, imaginer l’interdépendance
    Nul besoin non plus de craindre l’absence de comportements bénéfiques :
    Seul vibre l’Amour.

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  2. Merci pour ce merveilleux poème qui pointe vers l'Inconnaissance et met le lecteur au bord de ce rien qui s'étonne soudain de se goûter Lui-même. Je savoure.

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