Ça vient de loin c’est un murmure
C’est un refrain qui te susurre
Une rengaine atemporelle
Toujours la même ritournelle
Comme une langue très sensible
Qui voudrait lécher l’indicible
Un chant pour chanter l’ineffable
Amour de tous nos vains châteaux de sable
Oh oh
Entends-tu
Oh la voix qui s’est tue
Se revêtir d’un seul visage
Pour entretenir le mirage
Et puis passer toute sa vie
A faire comme si
Et si au cœur de ce voyage
Tu laissais mourir les images
Pour te souvenir du sans visage
Tu dirais c’est ainsi

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